Famille ESCHBACH du Neuhof
Famille ESCHBACHdu Neuhof

 

Famille Eschbach

du Neuhof

 

 

Souche ESCHBACH

de

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15 Avril 2014

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visiteurs

Structures scolaires

et éducatives

au Neuhof

 

 

 

 

Nous avons conscience de l'insigne somme d'efforts prodigués par les enseignants, les éducateurs et tous ceux qui, depuis plus d'un siècle, œuvrent dans les établissements scolaires et à caractère humanitaire de Strasbourg-Neuhof. Témoins au quotidien, du courage de leur engagement, leur exprimer chaleureusement notre admiration et notre reconnaissance est le plus agréable et le plus élémentaire des devoirs. L'honneur et la priorité du paragraphe premier leur reviennent de droit. Cette dédicace est un hommage bien considéré.

 

En dehors des ensembles des universités, il n'existe nulle part à Strasbourg un regroupement aussi important d'écoles et d'ins­titutions spécialisées.

Il est probable qu'une certaine forme d'instruction avait toujours été dispensée à Neuhof. Les Jésuites, fondateurs du Neue-Hof, connaissant leurs classiques, ne s'adonnaient pas uniquement à la prière, à la méditation, aux discussions théologiques, à la culture de leurs champs. Les sœurs d'école, ces saintes femmes, les pasteurs et d'autres âmes charitables savaient également partager leur savoir. C'est d'ailleurs, dans un passé plus approché, à l'ombre des clochers et dans les établissements d'éducation confessionnels que l'on relève les premières structures d'enseignement.

 

La condition actuelle des écoles de Neuhof n'accuse pas un caractère d'exception. La fréquence des points chauds, celle des

velléités contestataires, des bacheliers, celui des cancres aussi, ensuite le nombre d'étudiants et celui des admis aux grandes écoles, suivent des courbes superposables à celles de l'ensemble de la Communauté Urbaine.

 

Il y a un siècle, trois écoles catholiques se trouvaient Alleeweg. Ce chemin correspondait à un tronçon de la rue Welsch actuelle, du Point de presse J.-L. Schmitt au début de la rue des Jésuites, et menait, semble-t-il, vers la parcelle appelée sur les plans du cadastre "Auf der Allee", grosso modo la rue Saint-Ignace actuelle.

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Au 2, Alleeweg il y avait l'école des garçons. M. Ritti, l'instituteur, habitait au 1er étage.

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  • A l'école maternelle catholique du 4, Alleeweg, les révérendes soeurs se prénommaient Fortuna, Constantina ou Laurentine et apprenaient les prières, le maintien, les rondes, les comptines et les bienfaits de la sieste aux bambins.
  • Pour le bon équilibre des consciences, Mlle Hetzel avait la charge d'une école maternelle protestante. Mais pas au même endroit. Ordnung mues senn.
  • Les filles de Neuhof rejoignaient leur école installée du 6, Alleeweg. Au 1er étage habitaient les demoiselles Ehrhard et Kuntz, instutitrices, et "les soeurs d'école" les révérendes Schrepf et Zug ce qui fait plus instit' que Fortuna ou Laurentine mais il s'agit certainement des mêmes vénérées religieuses, car à la maternelle il n'y avait pas de logement.

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  • Le maître (Hauptlehrer) di) et l'instituteur (Lehrer) Bilger péroraient ex cathedra à l'école protestante, construite en 1861 au 34 de la route d'Altenheim

D'autres écoles élémentaires protestantes étaient installées Il y a un siècle,

  • au Marschallhof, à l'extrémité est de la rue de la Klebsau, une maison de redressement (Besserungsanstalt) pour garçons, dans laquelle oeuvrait l'instituteur Hess.au 83 de la route d'Altenheim,
  • la maison d'éducation (Erziehungsanstalt) du pasteur Belin, directeur, et de M. Lami, son instituteur du cours élémentaire. Ouverte aux orphelins de 6 à 18 ans, elle est plus connue à Neuhof sous le nom d'orphelinat.
  • Un institut pour jeunes filles catholiques avait pour adresse le 6 de la rue d'Altenheim ; la révérende soeur Paul en était la mère supérieure et le curé Schaller, le pasteur de ces bonnes âmes.
  • Le Magdalenenstift (auparavant le refuge de la Robertsau), un foyer de secours (Rettungsanstalt) pour jeunes filles protestantes, se trouvait au 4 de la rue Welsch (l'actuel n° 18, le foyer pour travailleurs). Il était dirigé par Mme Regel. Mile Weber était institutrice du cours élémentaire. Elle habitait au n° 2a, l'actuel bâtiment d'accueil.

Aujourd'hui, Neuhof abrite un nombre impressionnant d'établissements scolaires :

    • L'école Guynemer, comportant un cours élémentaire I (1, rue d'Argenton), un cours élémentaire II (16, rue de Chateauroux), un groupe d'action psycho-pédagogique (20, rue de Châteauroux), une zone d'éducation prioritaire (20, rue de Chateauroux), un cabinet médical scolaire (16, rue de Chateauroux), un cabinet dentaire scolaire (16, rue de Chateauroux) et un réseau d'aide spécialisée (11, rue d'Argenton).
    • L'école des Canonniers, qui dispense ses services en maternelle, au n° 5 de la rue de Gribeauval.
    • L'école du Stockfeld, qui propose des cours élémentaires et une maternelle au n° 1 de la rue du Loriot.
    • L'école Rodolphe-Reuss, comportant un cours élémentaire I (8, allée des Déportés), un cours élémentaire II (10, allée des Déportés), une annexe maternelle A (12, allée des Déportés), une structure d'accueil parents-enfants (12, allée des Déportés), le Jardin magique (12, allée des Déportés), la maternelle B (12, allée des Déportés), un groupe d'action psycho-pédagogique (4, allée des Déportés) et un cabinet médical scolaire 8, allée des Déportés),
    • L'école maternelle des aviateurs installée au n° 46 de la rue de l'Aéropostale.
    • L'école de musique du Stockfeld, implantée au n° 1 de la rue du Loriot.

 

 

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© Jean Louis Eschbach